J'ai
pu visiter la maison de Julien Gracq cette semaine, entièrement vide,
tellement troublante de ce vide, avec quelques traces infimes de la vie
qu'il y avait là. J'étais seul, avec pour seul compagnon sonore que le déclencheur de mes deux
boitiers photo. Les travaux commencent la semaine prochaine. C'était la
première fois que j'entrais ici ; pas d'autre connaissance que de me
rappeler certaines des lectures qui m'ont tant marqué, intimidantes .
Dans quelques temps, des écrivains seront là, à nouveau. Alors ce vide
intermédiaire aura servi.
Photographie numérique, Pentax, octobre 2012
jeudi 4 octobre 2012
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